Histoire: L'histoire de Maria commence il y a plusieurs années, à cette époque elle et sa mère vivait dans un manoir à Londre. Sa mère était la chef du personnel et avait beaucoup de travail. Le chef du manoir était un homme d'un certain âge d'une grande bonté. Il gardait malgré tout un certain mystère et semble avoir entrainer Maria dedans.
Depuis sa plus tendre enfance Maria a vécu dans une ambiance étrange, les domestiques étaient familiales et gentils, le maître prenait grand soin d'elle. Mais sa mère l'élevait avec des règles strict et des punitions fréquentes et souvent douloureuse. Plusieurs dois, elle s'est prit des gifles et en est tombé, mais elle a toujours pardonné à sa mère. Depuis toujours, Maria avait l'impression d'être de trop pour elle, un poids qu'elle trainerait, une enfant non-désiré. Malgré les certification de sa mère comme quoi elle l'aimait.
Un jour (elle avait 6 ans à ce moment là), alors qu'elle venait encore de se faire gronder elle rôdait au troisième étage du manoir et aperçu une fenêtre ouverte, grimpant sur le rebord, elle s'apprêtait à sauter. Une voix résonna dans le couloir.
_Maria? Maria où es-tu?
_Ici mama, Maria est sur la fenêtre.
_Maria! Que fais-tu là! C'est dangereux descend!
_Mais maman, si Maria meurt, tu n'auras plus à t'inquiéter d'elle. Uh! Maria sais bien qu'elle te gêne quand tu invite des hommes à la maison, à cause de Maria, tu ne peux plus vivre bien.
_C'est faux Maria! Je t'aime, je t'aimerais toujours. Descend maintenant avant de tomber. Il a plut ce matin et le bord et glissant.
Un instant, la fillette hésita, mais les bras tendus de sa mère eurent raison d'elle, et elle commença à descendre de la fenêtre. Hélas, elle dérapa sur le bord glissant et partie en arrière, dans la vide, accompagné du cri d'horreur de sa mère. Ce fut le maître, la rattrapant de justesse. Sa mère la pris dans ses bras, mais la petite reste là, normalement.
_Alors c'est vrais mama, tu aime Maria? Uh.
_Oui ma chérie, maman t'aime, et de tout son cœur.
_Maria, ne fait plus ça, c'est dangereux.
_Hu! Maria est désolé d'avoir causé du soucis, maître.
_Ta mère a encore beaucoup de travail. Vient avec moi, on va voir si on peut trouver quelque chose à faire tous les deux.
_Uh!
Maria attrapa la main du maître et ensemble ils se dirigèrent vers la bureau. La petite couronne qu'elle porte sur la tête date aussi de ce jour, le maître lui a mit sur le tête en l'appelant
"sa petite princesse noire". D'où la couleur de l'accessoire.
Puis le temps passa, Maria alternait entre les gâteries du maître, les reproches et les punitions de sa mère, l'amour de sa mère. Selon sa mère, la maître la gâté beaucoup trop, et c'est pour cela qu'elle devenait capricieuse.
Un second incident se produisit alors qu'elle avait neuf ans. Sa mère, la jugeant trop vieille pour toutes les futiles accessoires d'on l'affublé le maître, voulut lui ôter sa petite couronne noire. La gamine piqua un crise, poussant des
"Uh!" plaintif qui agaçaient sa mère. Elle se prit une gifle qui la colla au sol, et reprit ses plaintes de plus belle. Ce fut, de nouveau, une intervention du maître qui sauva la situation.
Le soir même, il annonça recevoir des invités important, et il ne voulait voir personne se promenait dans les couloirs sans qu'il le demande. Il insista aussi pour que Maria reste dans sa chambre toute la nuit, ce qui déçus beaucoup la fillette.
Il y eut, ce soir là, une nouvelle dispute. Sa mère voulait lui corriger ses tics de langage, mais la situation dégénéra de nouveau. La fillette s'enfuit dans les jardins, en pleine nuit, sous une pluie battante. Elle se retrouva devant un étrange spectacle: un homme (sans doute un invité du maître), était accroché au cou d'une femme, cette dernière semblait pris d'un étrange plaisir, mais était blanche comme un linge. Quand il relâcha son étreinte, la fillette vit du sang couler les long du cou de la femme, ainsi que des crocs ensanglantés sortant de la bouche de l'homme. Quand il l'aperçu, ce dernier eut un rictus mauvais.
_Oh, mais que voila, un désert parfait.
_Uh... Qui êtes-vous?
_Un des invités d'Horos. Et toi, je suppose que tu es Maria? Je commence à comprendre pourquoi Horos ne voulait pas te présenter à nous, tu dégage une odeur divine, je suis sûr que tu dois être délicieuse.
Il se saisi du bras de la fillette, et commença à approcher ses crocs de son cou. De nouveau, le maître lui sauva la vie. Il l'entraina vers son bureau après avoir réduit en cendre le monstre, et la consola.
_Maria, écoute moi. Cette créature était un vampire, comme ceux dans les histoires que je te raconte. Mais personne ne doit savoir la vérité sur eux. Compris?
_Uh! Maria ne dira rien. Pourquoi la vampire a dit que Maria avait l'air délicieuse?
_Parce que vous, les humains, dégageaient des odeurs bien particulière, et que la tienne est particulièrement agréable.
_Le maître aussi, voudrait boire le sang de Maria?
_J'avoue que ça me tente, mais je vais attendre que tu sois plus grande, ainsi, je n'aurais vraiment aucun scrupule à te sauter dessus. De plus, je suis sûr que tu seras encore meilleure une fois que tu auras atteint l'adolescence. Allez, va rejoindre ta mère maintenant. Tu lui diras qu'on a passé le reste de la soirée ensemble.
_Uh!Mais Maria ne veut pas être mordu, elle se défendra!
Elle déposa un petit baisé sur la joue du maître et repartit, accompagné du rire de celui-ci.
Le reste de sa vie se passa normalement. Entre les sautes d'humeurs de sa mère, et les histoire du maître.
Il y a peu, le maître lui a dit l'avoir inscrit dans un pensionnat japonnais où elle finirait ses études, là-bas elle rencontrerait des gens comme lui, mais devra se taire, comme toujours. Il lui a conseillé de s'en méfier, car ils pouvaient être dangereux.
Puis elle est partie, sous une pluie de novembre, pour arriver à l'Académie Cross, au Japon. Le maître à prit soin de lui apprendre lui même la langue du pays, ainsi elle n'aurait aucun problème à communiquer.